18 janvier 2010
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Nuits dissimulées sous les toiles que porte le bras replié. On s'efforce d'imaginer, animées au dessous, des palpitations, et des ouvertures qui empiètent sur des fermetures inachevées.
Doutant du rêve autant que de ce qu'il refuse d'être, on enfonce sous le tissu foncé ces résidus d'acier collectés dans l'attente. L'attention se durcit autour de la béance.
Pas une goutte aux mamelons maternels, à la déconnée, aux crochets, à la carapace percée ...
Ni naissances, ni autres.
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