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massacres amincis
27 janvier 2010

D'un rien, de quelques grattages au visage rincé,

D'un rien, de quelques grattages au visage rincé, la polarité de la reconnaissance des différences s'inverse. D'un rien on ne se laisse plus derrière soi. Ce sont les retours des tendres dont on ignorait le départ.
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4 mars 2010

Continuellement, les couleurs, sous les mains

Continuellement, les couleurs, sous les mains qui, enduites de salive, expérimentent crampes et surfaces accidentées, perdent tout de leurs primitives vivacités. Consignes du jour ou de la nuit.
4 mars 2010

En surface des cables creux censés permettre la

En surface des cables creux censés permettre la liaison d'une personne à elle-même, plantés, des valves et des bulbes ravalent, tant bien que mal, leur implosion partagée. D'une seule présence, insensiblement les alentours se dissolvent.
21 mars 2010

En un instant, l'accès ouvert sur la tendresse du

En un instant, l'accès ouvert sur la tendresse du lieu se referme sur nous, étouffés, contraints à l'illusion des évasions, le corps pressé avec acharnement sur les suspicions du monde.Angoisse des adoptifs dans les bras qui se resserrent.La moindre des...
19 avril 2010

Silhouettes claires de fumée fluctuante, des

Silhouettes claires de fumée fluctuante, des êtres, oublieux de leurs propres contours, s'enroulent paisibles dans les jupes du jour.Tenus partiellement à leurs fébrilités stables, leurs corps consentent à diminuer leur concentration, mêlent leur substance...
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19 avril 2010

Le pouce fait de la poudre des graines consumées

Le pouce fait de la poudre des graines consumées de la voix.Ainsi les naissances sont épargnées.
28 juin 2010

Ouvertures, ne se blessent pas de constamment se

Ouvertures, ne se blessent pas de constamment se refermer. Ravalés par la pierre, encore digérés par son souffre, sans empressement, abaissés aux lendemains, nous demandons pardon. Par ici, des nombres inégaux d'entrées et de sorties.
13 juillet 2010

A sa dimension sous aucun abri, elle,

A sa dimension sous aucun abri, elle, quasi-liquide passivité formelle, scelle son indécision dans la rigueur d'une voie.
14 septembre 2010

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Alors haussé par ce qu'ébranle l'incompatible cru associé, la pulpe rapidement chauffée s'écoulant d'une fente mal localisable, dissimulée sous son suintement, un prince s'étonne de voir une bague au doigt du serviteur, feint de s'abaisser ivre, l'embrasse...
14 septembre 2010

<!-- @page { margin: 2cm } P { margin-bottom:

Quand à son tour portique rompu la veille se dévale, n'importe quelle plaie s'entretiendrait, une traverse douloureuse où les palpitations se sont soudain massées pour la faire chuter serait même envisagée comme appui, dans une dernière révulsion.
30 octobre 2010

p { margin-bottom: 0.21cm; } La peine de savoir

La peine de savoir où orienter son dévalement quand l'appui momentanément commun d'un coup se déchausse, pince, traverse la poitrine sans réellement la pousser en arrière, la peine de se soutenir, vacant. Où mettre ses mains quand on n'a ni poches ni...
30 octobre 2010

p { margin-bottom: 0.21cm; } Bougée fière d'un

Bougée fière d'un report à l'autre debout de n'avoir su séjourner chassée – synthèse de tous les remplacements jusqu'à ne plus être perçus ou envisagés – dans la dernière enjambée arrêtée de ne sentir aucune main qui la parquerait, au sol elle quémande...
14 juin 2010

Par moments les corps s'insurgent de se constater

Par moments les corps s'insurgent de se constater survivre, se donnent à éteindre leurs volontés qui continuent de brûler. Quelque chose en eux se fortifie de sa destruction progressive, spasmodique se sépare de l'énergie qui l'immobilisait jusqu'alo...
15 février 2010

Le dos tourné, sournois, des renfoncements

Le dos tourné, sournois, des renfoncements s'élaborent. Tenues et persistances vidées de toute gloire. Derrière le mur commun, hors d'atteinte, conservent ceux qui manquent ici.
1 février 2010

Du bout des bras de rien, les petites — petites —

Du bout des bras de rien, les petites — petites — chutes ne se préparent que partiellement. Stabilité de l'intranquillité sans affronts, sans chevauchés extérieures.L'eau calme estompe quelques bordures.
1 décembre 2010

p { margin-bottom: 0.21cm; } Du dépliage de son

Du dépliage de son bras lourd, d'un appui rappelant celui, mal feutré, manifeste, dont la parlote est dégourdie, elle brusque souriante, sans paraître en prévenir la présence, des êtres isolés qui ne grouilleront davantage ; leur courage d'au moins ne...
21 décembre 2010

Par hasard gonfler les poumons et remonter la

Par hasard gonfler les poumons et remonter la ponglée dont on ne se souvenait plus ; effort annoncé de niveller façades et puits, de s'attacher au pieu duquel on a brûlé son odeur, constant glisser autour. Le premier qui se relévera ne prendra pas la...
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